Maïssane est de retour sur nos écrans dans la nouvelle émission de W9 intitulée The Cerveau. La jeune femme, qui a 147 de QI, est attendue au tournant par ses camarades, qui croient beaucoup en ses capacités sur les épreuves de logique, de culture générale ou encore d'ortographe. En attendant de savoir si elle va aller loin dans l'aventure, Maïssane s'est confiée en exclusivité à TV Actu afin d'évoquer son expérience au sein de l'Académie du Cerveau. Elle a également accepté de nous parler de ses souvenirs d'école et de ses futurs projets.
TV Actu : Pourquoi as-tu accepté de participer à The Cerveau ?
Maïssane : Parce que je suis la seule fille intelligente de la téléréalité ! C’était logique que je sois dans le programme, je pense que ça aurait flopé sinon. Je trouve que le concept est génial. Non seulement ça permet de prouver que nous ne sommes pas tous idiots, mais, en plus, c’est hyper drôle à faire. On va avoir droit à des phrases cultes et on va se challenger un petit peu donc c’est vraiment cool !
Le fait que tu aies 147 de QI a-t-il été un avantage dans ton aventure ?
Non, ça a été plutôt un inconvénient pour moi parce que comme je le dis souvent, avoir 147 de QI, ça ne veut pas forcément dire que je sais tout. En revanche, ce qui est sûr c’est que je manque d’humilité. À la moindre erreur, je risque de me faire lyncher plus que les autres.
Jonathan a un QI supérieur à toi, comment as-tu réagi en apprenant ça ?
Très mal ! Dépression, deux, trois jours… Anxiogène à mort !
Dans le premier épisode, tu sembles intéressée voire séduite par le profil de Jonathan. Est-ce que c’était sérieux ?
Non, c’était de l’humour. Je suis très sapiosexuelle, je suis attirée par les personnes qui font preuve de réflexion et qui sont intelligentes.
Tu as retrouvé ta copine Carla Moreau dans The Cerveau. Heureuse ?
À la vie comme à l'écran, c'est ma meilleure amie. Je sais que je peux lui faire confiance et qu’on ne se trahira jamais. Elle peut compter sur mon aide dans ce jeu et je sais que je peux me reposer sur ses petites qualités de peste pour aller un peu plus loin.
Il n’y a pas eu de trahison entre vous ?
Jamais ! Il n’y aura jamais de trahison entre Carla et moi, on est trop copines. On a des vacances de prévues chaque année avant les tournages donc ça serait bête de perdre la caution ! (rires).
Tu as aimé retourner à l’école ?
Ça m’a plu ! J’ai adoré retourner sur les bancs de l’école, même si c’était avec des candidats de téléréalité. C’est mieux que de se retrouver dans une villa à Tulum avec trois personnes qui ne font que parler de leur histoire de couple ou leurs extensions de cheveux.
Les uniformes, on valide ?
Très sympa ! En plus, j'étais venue avec ma garde-robe de Marrakech… Beaucoup trop léger pour Paris !
Est-ce que tu t’es bien entendue avec tous les membres du casting ?
Oh non ! J’ai beaucoup de mal à m'intégrer dans un groupe en temps normal parce que je suis quelqu’un d’odieux, finalement. Néanmoins le casting, c’est un sans-fautes. Il y a des anciens, des nouveaux, des personnages emblématiques. Kim Glow par exemple, c’était obligé de la revoir dans ce genre de programme.
Est-ce qu’il y a eu des histoires d’amour, des clashs ?
Personnellement, les histoires d’amour, c’est ma phobie ! Je ne m’y suis pas intéressée et je ne sais même pas ce qu’il s’est passé. Il y a eu quelques clashs mais en même temps, le fait d’être dans une atmosphère de compétition engendre des tensions. Mais c’est bien, ça dynamise !
Le fait de recevoir des insectes ou de la peinture sur la tête lors des épreuves, tu en as pensé quoi ?
Moi ce n’est pas ma DA (direction artistique, ndlr). Moi je suis là pour faire des calculs ou conjuguer des verbes. On envoie Vivian là-dedans, il aime bien !
Est-ce que tu aimerais devenir le plus grand cerveau de la téléréalité ?
Oui, juste pour prouver que je suis vraiment intelligente.
Entre The Cerveau et The Power, quelle émission as-tu préféré tourner ?
On reste sur la même production. Ils sont très forts puisque les concepts sont géniaux. Ils sont bienveillants et ils arrivent à nous mettre dans des situations dans lesquelles on se challenge. On se découvre de nouvelles capacités. Surtout, on ne s’ennuie jamais ! Entre les deux, j’ai préféré faire The Power.
Quel genre d’élève étais-tu à l’école ?
J’étais médiocre, parce que je travaillais très peu et je prenais un malin plaisir à ne rien faire durant les deux premiers trimestres avant de redoubler d’efforts le dernier trimestre pour avoir 20 et passer en classe supérieure. Ça a été ça tout au long de ma scolarité et je me suis fait virer de plusieurs établissements. On m’a dit que je n’aurais jamais mon bac alors que finalement je l’ai obtenu avec mention. J’ai aussi réussi 12 concours d’entrée en école d’ingénieur. Ça ne m’a servi à rien parce que je suis avec Kim Glow à la télé (rires).
Quelle est la plus grosse bêtise que tu aies faite à l’école ?
Je ne séchais pas les cours car j’avais très peur de mes parents mais je répondais très souvent aux professeurs. Il leur arrivait parfois de faire des erreurs et ce qui les énervait le plus, c’est lorsque justement je leur faisais savoir qu’ils se trompaient. J’ai eu beaucoup d’avertissements de discipline pour ça.
Vas-tu poursuivre ton chemin dans la téléréalité ?
Pour l’instant, j’ai besoin de faire une pause. J’ai pas mal enchaîné et j’ai besoin de me recentrer sur ma vie personnelle. Si d’autres opportunités se présentent à moi et notamment des programmes avec des concepts similaires à The Cerveau ou The Power, je serai là avec plaisir.
