The Amateur
Note moyenne
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216 critiques spectateurs

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Henrico
Henrico

187 abonnés 1 371 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 19 avril 2025
James Hawes ne nous a jamais impressionnés par ses réalisations. Ni les films, ni les épisodes de séries auxquelles il a participé ne laissent un souvenir impérissable dans la mémoire des cinéphiles. Ce "The Amateur" aura le même destin. Des acteurs irréprochables, tels Malek et Fishburne, mais leur interprétation semble être une redite de films dans lesquels ils ont déjà donné. Si le scénario et les dialogues sont corrects, les effets spéciaux, extrêmement élaborés, ils auront du mal à satisfaire les cinéphiles éclairés précités. Et pour cause, ces derniers reprocheront au film plusieurs incongruités dans l'intrigue. Comme par exemple, la réapparition, au cours d'une scène capitale, d'un personnage qui n'a pas la moindre importance dramatique. Ils reprocheront surtout à Hawes ses emprunts de ficelles déjà utilisées dans certains "Jason Borne", ainsi que certains "Mission Impossible", mais ce, sans faire l'effort d'innover. On sait depuis ces films qu'il est possible d'embrouiller ses poursuivants grâce à la piraterie informatique high tech. Mais on ne sait toujours pas comment. En faisant ce petit effort de recherche, Hawes pouvait tirer son épingle du jeu et nous impressionner. Hélas, il fait du réchauffé, et nous laisse partir placides, le sentiment d'avoir mangé un met fin, cher, mais sans saveur.
Le_Général
Le_Général

49 abonnés 141 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 28 avril 2025
Pour le lecteur pressé, en moins de 3 minutes :
 Pour découvrir ma critique vidéo complète, copier/coller "cinéma sans fard + the amateur" sur YouTube !
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On pensait tout savoir du thriller d’espionnage : les agents désabusés, les conspirations tentaculaires, les regards sombres entre deux ruelles mouillées. Et puis The Amateur débarque, sans fracas. Rami Malek, regard las et voix qui tremble, y incarne un analyste de la CIA — un décodeur de mots, pas un homme d’action — qui se lance dans une vendetta feutrée après avoir perdu sa femme dans un attentat. Pas pour sauver le monde. Juste pour comprendre, et peut-être survivre à son propre chagrin.

James Hawes, lui, ne cherche pas à réinventer la roue. Il la fait tourner lentement, sur un bitume craquant de tension froide. Sa mise en scène est tout sauf spectaculaire : angles rigides, silences lourds, coupes sèches. Cela pourrait lasser. Cela intrigue, aussi. On pense aux films d’espionnage des années 70, ceux où la vérité suinte entre les murs gris et les rapports confidentiels. The Amateur n’est pas un feu d’artifice, c’est un feu de cheminée : discret, étouffé, mais brûlant lentement.

Et Rami Malek ? Étrange choix pour un rôle pareil, diront certains. Trop intérieur, trop minimaliste. Mais ce serait méconnaître son talent pour l’opacité. Il joue un homme vidé, dont les gestes semblent traduits d’une autre langue. Face à lui, Caitríona Balfe impose une rigueur inquiète, et Laurence Fishburne incarne, en quelques scènes, une gravité d’acier. Aucun excès. Juste la fatigue d’être responsable.

Le film manque parfois d’impulsion, c’est vrai. On aurait aimé plus d’aspérités, une tension plus électrique. Certains retournements paraissent mécaniques, comme dictés par le cahier des charges du genre. Mais il y a dans cette sobriété une forme de respect — presque une révérence — pour le spectateur qu’on ne veut pas prendre par la main.

Car au fond, The Amateur parle moins de vengeance que de solitude. De ce qu’on devient quand le monde cesse de faire sens, et qu’on se remet à chercher — non pas la vérité — mais un fragment de soi-même. Un film modeste, mais têtu. Comme un murmure dans une salle pleine de cris.
Miguelithor
Miguelithor

3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 15 avril 2025
Malgré des facilités scénaristiques et des thématiques profondes à peine effleurées (deuil, remise en question, corruption), ce thriller d'espionnage, héritier de l'ère Bourne mais ancré dans notre société d'hyper-surveillance numérique, parvient à captiver. Porté par la tension constante et le duo magnétique Malek-Fishburne, le film, bien que frustrant dans la sous-exploitation de ses thématiques, remplit sa mission première : divertir avec efficacité grâce à une mise en scène immersive et une intrigue de vengeance entraînante
🎬 RENGER 📼

8 028 abonnés 7 755 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 18 avril 2025
Charlie Heller, un cryptographe de la CIA, voit son existence basculer lorsque sa femme décède durant une attaque terroriste. Face à l’inaction de sa hiérarchie, il décide d’enquêter et d’éliminer les responsables…

Adapté du roman éponyme de Robert Littell et déjà transposé au cinéma par Charles Jarrott avec L'Homme de Prague (1981), près de 45 ans plus tard, c’est au tour de James Hawes de s'atteler à la tâche pour nous retranscrire un thriller d’espionnage où l’absence totale de crédibilité vient constamment nous sauter aux yeux.

Rami Malek incarne un analyste de la CIA qui se lance dans une vendetta personnelle à travers le monde pour traquer les terroristes coupables du meurtre de sa femme. Ce dernier, chétif et introverti, spoiler: va aller jusqu’à menacer et faire chanter ses supérieurs hiérarchiques, afin d’obtenir une formation express de commando (le type devient artificier en un claquement de doigt, visiblement, c’est à la portée de tous de savoir fabriquer un engin explosif, quand bien même il a un . supérieur à la normale).
Bref, on n’y croit pas un seul instant, voir ce geek déjouer la sécurité de la CIA, de son formateur et des terroristes, tout en prenant soin de toujours avoir un coup d’avance, n’est pas Jason Bourne qui veut !

Malgré cela, il faut néanmoins reconnaître que le film fait le job, on ne s'ennuie pas, mais c’est tellement grossier que ça frise parfois le ridicule. Côté interprétation, si Laurence Fishburne est crédible, on regrettera amèrement le choix de Rami Malek dans le rôle-titre, entre son absence de charisme et son éternelle tête de chien battu, c’est clairement la douche froide.

● ● ●
Alice025

1 753 abonnés 1 407 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 13 avril 2025
D'un point de vue personnel, les films d'espionnages ne sont pas forcément ma tasse de thé. Mais la bande-annonce m'intriguait et je suis partie le voir. Je m'attendais à une sorte de vengeance assez rythmée sur les coupables qui ont tué la femme de Charlie (interprété par Rami Malek). J'ai trouvé l'ensemble soporifique malgré quelques scènes assez rythmées. Bien que le casting soit bon, le scénario a du mal à nous tenir en haleine, ce qui est dommage car les scènes de « pièges » sont bien élaborées et nous remotivent dans le film avant de nous faire retomber dans ce côté ennuyeux... Note moyenne, car sentiment partagé.

http://cinephile-critique.over-blog.com
ferdinand75

625 abonnés 4 073 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 24 avril 2025
Un bon film d’espionnage plutôt bien construit, un bon scénario assez cohérent sans temps mort. L’intrigue est basée sur la vengeance que va vouloir effectuer un geek , analyste, employé de la CIA, pour venger sa femme tuée dans un attentat terroriste à Londres. De petit employé gratte papier il va devoir se transformer en commando d’action pour tuer les 4 terroristes un par un. Cela va nous emmener dans différentes parties du monde , sur le mode James Bond ; très belles scènes dans Paris , Londres, puis Istamboul , puis la Sibérie .Les acteurs tous très bons et surtout Rami Malek qui confirme qu’il est un personnage à part dans le cinéma Hollywoodien avec son physique atypique , nonchalant , un peu désabusé, masu qui arrive à nous envouter .Il faudra encore plus compter avec lui.
Chris58640
Chris58640

236 abonnés 782 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 13 avril 2025
A mi-chemin entre la trilogie musclée « Jason Bourne » et la série geek « Mr Robot », « The Amateur » est l’adaptation d’un roman de Robert Littell, que je n’ai pas lu. Je n’ai donc rien à dire sur la fidélité ou non au roman. Le film réalisé par James Hawes coche les cases du blockbuster d’action traditionnel, un peu formaté pour plaire au plus grand public possible. 2h pied au plancher, avec tous les ingrédients qui vont bien : l’action, les cascades et les scènes spectaculaires mais aussi du suspens et de l’émotion. On ne s’ennuie pas, c’est certain, le film est assez peu bavard, la musique n’est pas désagréable mais elle est omniprésente et il faut en prendre son parti. James Hawes réussit quelques scènes assez fortes, comme celle de la piscine à Madrid et il nous fait voyager dans toute l’Europe : Londres, Paris, Marseille, Istanbul, Madrid etc… D’ailleurs, comme dans tous les films US, ils ont beau montrer une photo de Montmartre et de la Cathédrale Sainte Sophie, ils ne peuvent s’empêcher de préciser qu’on est à Paris ou Istanbul, au cas où le spectateur serait nul en géo ! Mais peut-être est-ce nécessaire pour le spectateur américain lambda, allez savoir… Il y a un beau travail de repérage de décors dans « The Amateur », les décors de toutes ces villes sont bien choisis, même si on peut difficilement éviter le côté « cliché ». Dans sa forme, le film est hyper produit, le résultat est un film efficace et musclé, sans être trop complaisant avec la violence. spoiler: Bien-sur la vengeance de Charlie sera émaillée de morts violentes, mais il n’y aura au final qu’une seule scène de fusillade, les armes à feu n’étant définitivement pas le truc de Charlie.
Il manque peut-être juste une pincée d’humour pour parfois dédramatiser telle ou telle situation d’un film qui se prend quand même très au sérieux. J’aime bien Rami Malek de puis « Mr Robot » et ce Rami Malek là que je retrouve ici, petite lunette et mains agiles sur le clavier pour dérégler la course du monde avec essentiellement des 1 et des 0. Il faut de son mieux avec la charge émotionnelle de son personnage en deuil, sans que l’on soit convaincu à 100% dans toutes les scènes. On va dire que, dans sa totalité, il fait le job d’un rôle multi-facette, aussi physique que porté sur l’émotion, un équilibre pas forcément évident à trouver. A ses cotés, les rôles sont quand même très stéréotypés, les méchants sont sans scrupules, l’instructeur bourru est très bourru, sa charmante épouse (qui revient faire des petits flashes back réguliers) est très charmante. Que ce soit Laurence Fishburne, Rachel Brosnahan, Holt McCallany ou encore Jon Bernthal, tous font de leur mieux avec les rôles très peu écrits qui sont les leurs. Sur le fond, je ne sais pas bien entendu si le scénario est crédible, dans le détail ou non. Mais quand on regarde ce genre de film, on ne s’appesantit pas trop sur la véracité de ce qu’on l’on voit. D’abord parce que, quand on n’est pas de la partie, spoiler: on ne sait pas si on peu voyager comme cela dans toute l’Europe aussi facilement quand on a la CIA aux trousses. Peut-on manipuler la reconnaissance faciale ? Peut-on fabriquer une bombe comme cela, sans une formation de plusieurs années ? Charlie Heller à un QI de 170 (évidemment, sinon il ne serait pas à la CIA !) et c’est un petit génie en informatique,
alors on fait le dos rond et on ravale toutes nos interrogations. C’est mieux, de se laisser porter par une histoire de vengeance, même si elle peut paraitre un peu « too much ». La distinction entre justice et vengeance est, on s’en rend compte tardivement, assez centrale dans ce scénario. Heller se venge, mais ça ne lui apporte pas la paix et cela ne rends pas justice, il met du temps à s’en rendre compte. Et il y a aussi une petite réflexion sur la mort dans ce film, car Heller n’est pas un tueur, spoiler: une arme à la main il est incapable de tuer les yeux dans les yeux, c’est quelque chose qui n’est pas souvent souligné dans ce genre de film où ça dégomme souvent à tour de bras
. Charlie ne tue que soit de loin (pour ne pas regarder la mort en face) soit indirectement. « The Amateur » plaira sans doute aux amateurs du genre « Revenge movie » genre « Taken », mais en plus subtil, en plus moral sans doute aussi. Personnellement, j’en attendais mieux, j’espérais surement un thriller plus psychologique et plus « technologique », j’aurais aimé le voir se venger à distance, sans quitter son bureau par exemple. Finalement, « The Amateur » est plus proche de Jason Bourne que de Mr Robot, et c’est dommage.
petitbandit
petitbandit

104 abonnés 646 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 16 avril 2025
Un film d’action rythmé au scénario cédant à trop de facilités et gâché par beaucoup trop d’invraisemblances. L’interprétation est moyenne également….
Divertissant mais sans plus.
khesanh76
khesanh76

26 abonnés 248 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 8 mai 2025
Le suspense tient la route tout au long du film. Charlie Heller, arrive à se défaire de la majorité des pièges qui lui sont tendus, et ils sont nombreux !
Les coups de théâtre sont nombreux mais l'intrigue tient la corde.
Remi Malek s'en sort plus tôt pas mal, comme tueur amateur râté.
Pour ceux qui aiment les films d'action et d'espionnage !
garnierix
garnierix

262 abonnés 501 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 11 avril 2025
On ne comprend pas grand chose au film (on arrête vite de faire des efforts d'ailleurs), spoiler: sauf le système d'alarme basé sur une escouade de pintades en Turquie.
Mais deux ou trois détails font l'intérêt du scénario. Le premier, c'est la soi-disant absence de "zone grise" à la CIA (tout est noir ou blanc officiellement), ce dont doute le personnage principal du film (qui a perdu sa femme dans un attentat) - ça sent le complotisme, mais ça marche toujours, ça crée du mystère et du suspense.

Les autres détails viennent des traits de caractère de ce personnage justement : la force de son doute ; son QI de 170 (le rendant capable de comprendre et faire des choses qu'il n'a pas apprises) ; mais c'est la "terrible perte" qu'il a vécue et qu'il continue de vivre (il "remplit le silence" laissé par cette perte) qui nous impressionne - c'est le plus original (tout le monde ne pourra pas comprendre cela).

Il fallait un acteur accompli comme Rami Malek pour jouer ce rôle, genre Matt Damon de La Mémoire dans la Peau (sauf pour la bagarre). Il ne serait pas étonnant d'ailleurs de voir une série naître avec ce film. Donc on ne s'ennuie pas une seconde entre les "rogue missions" secrètes de la CIA (mais illégales, pour ne pas l'entacher) et ce héros émouvant que la perte et le souvenir de sa femme animent comme une marionnette (même si dans les faits il tient de la fable ou de la fantaisie). De plus, cet acteur est devenu beau (grâce la tristesse qu'il trimbale?)

En revanche, côté acteurs, Laurence Fishburne déçoit, curieusement (c'est-à-dire que c'est dommage). Mais on accuse la réalisation plus que l'acteur. Ainsi que le scénario (son rôle est confus).

A.G.
Elisabeth G.
Elisabeth G.

190 abonnés 1 124 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 14 avril 2025
Un thriller d'espionnage classique, bien fait, mais souffrant de trop de longueurs au début et d'invraisemblances malgré la présence charismatique de Rami Malek.

La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2025/04/the-amateur-de-james-hawes-sympa-mais.html
Fiers R.
Fiers R.

145 abonnés 557 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 14 avril 2025
Changement radical de registre pour James Hawes après le drame « Une vie » avec Anthony Hopkins qui narrait le sauvetage de juifs par un jeune britannique durant la Seconde Guerre Mondiale et la mise à jour dudit sauvetage à la télévision des décennies plus tard. Une œuvre émouvante (et un peu larmoyante) qui avait connu un beau succès, en Europe surtout. Ici il part dans un genre diamétralement opposé avec ce thriller d’espionnage où un quidam décide de venger la mort de sa femme dans une prise d’otages et met à jour une machination internationale; mais ce serait oublier qu’il a réalisé des épisodes de la série d’espionnage « Slow horses ». Dit comme cela, on dirait un scénario de film d’action du siècle passé. Heureusement, à l’image de n’est pas le cas.

Cependant, on retrouve quand même le côté totalement invraisemblable qui faisait presque la marque de fabrique de ce cinéma d’action de l’époque. C’est d’ailleurs l’un des défauts du film : il remise tout réalisme aux oubliettes. Le script dans son ensemble est complètement improbable mais il fait semblant d’être plausible, ce qui s’avère quelque peu amusant. Mais il y a aussi une palanquée de petites invraisemblances, incohérences et facilités de scénario qui pullulent sur les deux heures que dure « The Amateur ». Un peu trop peut-être. Le personnage principal se déplace en Europe bien trop facilement alors qu’il est recherché et il se fait retrouver bien trop aisément pour les besoins du script. Également, il parvient à créer des pièges et vaincre ses adversaires avec une facilité déconcertante au vu du peu d’entraînement qu’il a eu. Enfin, la coïncidence que la mort de sa femme soit en rapport avec une conspiration de ses patrons à la CIA est également un peu trop énorme... Bref, pour le côté logique et vraisemblable il faudra repasser.

Mais si on retire cela (et on sait que dans ce genre de cinéma, le réalisme est rarement la priorité), « The Amateur » se suit avec un plaisir certain. Le film est fluide, le rythme soutenu et l’histoire est captivante du début à la fin. Le fait que le vengeur soit cette fois un bureaucrate fébrile qui utilise davantage ses neurones que ses muscles permet une originalité certaine à l’ensemble. Si James Hawes ne nous gratifie pas d’une réalisation particulièrement remarquable, elle est fonctionnelle et bien troussée. Certains tiqueront sur la morale avec une certaine apologie de la vengeance personnelle, mais à force de corruption et d’injustice au sein de notre triste monde, on ne va pas se plaindre.

On aura un peu plus de mal avec le choix de Rami Malek pour le rôle. Certes il a la carrure du petit agent de bureau timide et peu impressionnant, ce qui colle bien avec son personnage mais il ne joue pas toujours juste. Et, surtout, dans la partie émotion lors du décès de sa femme, il est même plutôt mauvais au point que c’en est gênant. Heureusement, cela ne dure pas longtemps. On appréciera davantage une jolie brochette de seconds rôles de luxe de Laurence Fishburne à Jon Bernthal en passant par Michael Stuhlbarg qui accordent un peu de prestige à cette série B de luxe qui ne manque pas de quelques séquences impressionnantes et mises à mort originales. Du divertissement du samedi soir relativement bien fait en somme.

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Paul B
Paul B

58 abonnés 1 093 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 16 avril 2025
L'intrigue est prenante, les acteurs sont bons, les dialogues sont subtils mais c'est trop cliché et trop long.
Donatelloow
Donatelloow

60 abonnés 375 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 19 mai 2025
Un film vraiment très peu original. La première heure est interminable et soporifique au possible. La deuxième relève un peu le niveau avec des scènes d’actions réussies et bien construite (mais quel dommage qu’elles soient complément spoiles dans la bande annonce). L’histoire est fade, linéaire et les acteurs sont mauvais. Un nanar de plus sans grand intérêt à part divertir légèrement sur deux heures. Vite oubliable.
vincent COLLIER
vincent COLLIER

49 abonnés 157 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 22 avril 2025
Un bon film à suspens.... Rami Malek comme toujours excellent et les autres acteurs ne sont pas en reste. On ne s'ennuie à aucun moment.
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