The Shield
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557 critiques spectateurs

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Kilian Dayer
Kilian Dayer

121 abonnés 838 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 6
4,0
Publiée le 4 mai 2017
Inlassablement, inévitablement, le périple se poursuit, se réorganise. The Shield, phénomène télévisuel, au crédit d’un Shawn Ryan inépuisable, reprend tout juste son souffle, après une saison cinq de haute volée, et revient asséner son coup de massue annuelle version 2007. Vic Mackey trébuche, se relève, se voit confronté à de nouvelles perspectives peu engageantes, composant entre les fantômes d’un passé sanglant et les promesses d’un lendemain délicat. Mais comme on était en droit de la craindre, dans une moindre mesure, 2007 étant par ailleurs une année noire pour les scénaristes, la série semble ici marquer un brin le coup. Raccourcie de deux voire trois épisodes, plus brouillonne, quoique, qu’à l’accoutumée, The Shield souffre ici d’une petite carence narrative, s’égarant sur des chemins parfois indistincts pour finalement, lors du Season final, en arriver à une forme de limpidité engageante pour la septième et ultime saison à venir. S’il serait réducteur d’assimiler cette sixième saison à une simple transition entre passé et fin de parcours tout proche, les quelques faiblesses démontrées le justifie pourtant.

Faisant incontestablement partie d’un tout, comme pour tout bon drama, cette sixième volée d’épisodes se disperse parfois mais pour autant, ne s’égarera jamais de la ligne directrice du show. On redistribue, une fois encore, quelques cartes et l’on engage les ultimes rouages en vue d’en conclure l’année suivante. Si tout n’est pas parfait, on pense au traitement de l’affaire du massacre à la machette un poil brouillon, aux intentions difficiles à cerner d’un Shane désormais seul face à ses anciens coéquipiers, le tout se maintien habilement sur le bonne voie. Le suspense est toujours maiximal, malgré l’éviction assez rapide de l’épouvantail John Kavanaugh, remarquable Forrest Whitaker.

Appréciable en dépit qu’elle soit bien inférieure aux saisons précédentes, du moins à la quatrième et à la cinquième saison, celle-ci nous réservra pourtant son lot de surprise. Inlassablement, inévitablement, The Shield reste une pièce maîtresse, une référence en matière de show policier. A ne pas manquer. 16/20
Kilian Dayer
Kilian Dayer

121 abonnés 838 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 7
4,5
Publiée le 24 mai 2017
The Shield tire ici sa révérence, ultime tour de piste pour les personnages de Shawn Ryan. Septième effort, cette volée de treize épisodes, on retrouve le format des débuts, se veut comme étant la digne conclusion d’un polar musclé, vitaminé, à vif. Flics ripoux, flics intègres, criminels, gangsters, politiciens, citoyens, le monde urbain, un district fictif de L.A., tout est une fois encore bousculé par un dynamiteur de bonne conscience. Le périple crapuleux de l’un des anti-héros les plus passionnants de l’histoire de la télévision s’achève à grands fracas, là ou rien ou personne ne sera épargné.

Le final, glaçant, découle d’une suite logique d’évènements, qu’ils s’agissent de ceux de cette saison-ci, ou plus globalement, de la série dans son intégralité. Etouffante, la série marche fièrement vers sa destination finale, laissant choir un public captivé de la plus belle des manières. Adieux les artistes. 18/20
BlindTheseus
BlindTheseus

326 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

Critique de la série
2,5
Publiée le 6 juin 2009
Curieusement réaliste une série qu'on se plaît à suivre sans forcer l'intérêt, et dû à plusieurs éléments accélérant l'intrigue parfois de manière surprenante malgré quelques faits communs ou dit- "vulgaires": à prendre ou à laisser.
Florian Malnoe
Florian Malnoe

131 abonnés 557 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 26 avril 2015
Une série de haute qualité brutal et non manichéenne avec des personnages charismatiques que l'on arrivent a apprécier malgré le fait qu'ils soient arrivistes et bourrés de failles. Ce n'était pas toujours réaliste mais bon dieu que c'était prenant et efficace avec cette mise en scène au cordeau. La bande son était quand à elle géniale et les intrigues aussi. Excellent !
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 27 mars 2013
Le réalisateur arrive à nous faire rentrer dans une série où les personnages principaux ne sont que des flics corrompus, on s'attache à ses personnages malgrès ce qu'ils font. C'est une série très bien faite qui paraît réelle le seul défaut c'est le dernier épisode où j'ai était déçu mais au moins c'est une vraie fin pas comme d'en d'autres séries.
JojoBxl
JojoBxl

21 abonnés 97 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 12 février 2024
Qu'est-ce que je peux dire sur The Shield qui n'a pas déjà été dit ? C'est une série absolument géniale ! Elle était tellement en avance sur son temps lorsqu'elle a été diffusée entre 2002 et 2006 et a été copiée de nombreuses fois depuis. L'écriture et le jeu des acteurs sont ce qui rend cette série si spéciale. Elle suit un policier véreux de la police de Los Angeles, Vic Makey (Michael Chilkis), qui dirige une équipe spéciale de la division criminelle prête à tout pour arrêter les criminels qu'elle poursuit, y compris à enfreindre la loi ou à collaborer avec d'autres criminels. The Shield est l'une des meilleures séries de tous les temps. C'est l'une des séries policières les plus captivantes jamais diffusées à la télévision.
CeeSnipes
CeeSnipes

306 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 18 mars 2014
En 2002 démarra sur FX un des plus grands shows de l'histoire de la télévision américaine : The Shield, créée par Shawn Ryan, anciennemennt scénariste de la série Angel et d'un film d'Adam Rifkin et de Tony Markes, "Welcome to Hollywood". Le show dura 7 saisons pour 88 épisodes et s'arrêta donc en 2008.

The Shield suit Vic Mackey, le leader d'une unité anti-gang de quatre policiers corrompus, la Strike Team, dans le district fictionnel de Farmington, Los Angeles et de ses collègues, proches et un peu plus éloignés. Chacun de ces personnages aura sa (ses) storyline(s) passionnante(s) durant les sept saisons. Car l'écriture de Shawn Ryan est d'une efficacité redoutable. Alors que chaque saison amène son bad guy, qu'il soit gangster et donc légitimement mauvais ou policier de haut rang venu pour enquêter sur les actions de la Strike Team, Ryan se permet d'aligner une longue storyline en début de saison deux, qui reviendra hanter Vic Mackey et ses compères jusqu'à la fin de la série. En termes d'écriture, c'est un chef d'oeuvre pur et simple. Par exemple, la saison 4 avec l'arrivée d'un nouveau capitaine jouée par Glenn Close est autant un délice, qui continue avec le passage immense de Forest Whitaker en lieutenant poussé à la faute par Vic Mackey. Le bras de fer entre les deux est probablement l'acmé de la série. Il se termine au début de la saison 6, peut-être justement le moment le moins bon de la saga avec l'arrivée d'Alex O'Loughlin et de Michael Peña. C'est d'autant plus étrange que la saison 6 est en fait la deuxième partie de la saison 5, coupée à la manière des Sopranos. La dernière saison est excellente, avec chaque personnage voyant sa storyline terminée, de manière très nihiliste, comme d'habitude chez Ryan & Kurt Sutter, autre scénariste de la série.

Et c'est là que The Shield fut très fort. La série démarre très mal, finit très mal et pourtant, on ne tombe jamais dans l'excès. Tout semble crédible, comme cette course-poursuite initiale où Mackey et son équipe va chercher des paquets de dope dans l'anus d'un dealer en lui faisant baiser son futal dans la rue. Le casting aide beaucoup. En effet, si des types comme David Rees Snell, Kenneth Johnson, Benito Martinez ou encore Catherine Dent ou Jay Karnes étaient excellents, c'est le duo terrible Michael Chiklis - Walton Goggins (son breakout role, peut-être son plus grand rôle à aujourd'hui, un chef d'oeuvre d'interprétation) qui se trouve être le véritable bijou de la série, l'atout majeur. Les deux acteurs démarrent amis, finissent ennemis et leur affrontement est d'une violence contenue impressionnante que les deux acteurs arrivent à passer avec un regard, un geste... C'est tout simplement du prodige, à ce niveau-là pendant 6 ans. Dans les récurrents, on aura vu passer Anthony Anderson à contre-emploi, Sticky Fingaz, RonReaco Lee, Ron Canada... Que du beau monde. Que dire de la bande-son impeccable, du générique très court et très accrocheur à l'explosion de hard rock et de gangsta rap lors des scènes de rue? Parfaitement adéquat pour l'immersion et le spectacle.

The Shield est un modèle d'écriture, de développement de personnage, de mise en scène, de violence, de dramaturgie et même de buddy show. Pendant que la vie de Vic Mackey s'écroule, le spectateur ne peut qu'être captivé par tant de talent, devant et derrière la caméra. The Shield est un chef d'oeuvre de show, un des plus grands cop shows de l'histoire.
Kilian Dayer
Kilian Dayer

121 abonnés 838 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 1
4,5
Publiée le 6 janvier 2017
S’il apparaît difficile, 14 ans après, de revenir juger une série télévisée, pour des raisons évidentes d’évolution du type de support, The Shield n’en demeure pas moins une référence en la matière, à bien des égards. 2002, année ou HBO écrasait littéralement la concurrence avec ses prestigieuses The Sopranos et The Wire, une chaîne naissante, FX, aujourd’hui l’un des leaders du câble américain, un showrunner de tempérament, Shawn Ryan, se lançaient dans le grand bain du soap policier version moderne et sans limites. S’éloignant des stéréotypes sirupeux faisant des inspecteurs et autres agents de police des protecteurs bienveillants enchaînant les exploits, The Shield nous plonge immédiatement dans le quotidien d’un flic véreux, d’une ordure peu scrupuleuse, anti-héros savoureux évoluant dans un univers de crime et de brutalité, côtoyant collègues en tous genres, moraux ou pas, gangsters paumés et autres joyeux drilles des bas-fonds de Los Angeles.

En treize petits épisodes à l’efficacité impressionnante, le rythme étant soutenu, les intrigues mixtes et soignées, Vic Mackey devient l’un des ténors du câble, un personnage savamment ambigu, à la fois détestable et attachant. Le personnage, incarné par un tout bon Michael Chiklis, gravite au centre d’un microcosme complexe de policiers désabusés, valeureux, de truands notoires. Vic Mackey est certes le centre d’intérêt de la série, mais les scénaristes ne s’y arrêteront pas perpétuellement. En parallèle des évènements principaux, la série fait état de toutes une panoplie d’enquêtes annexes, menées soit par un tandem d’inspecteurs attachants, soit par deux agents en uniformes. Chaque écarts est passionnant et mieux encore, parfois la futilité, la banalité du travail de ces policiers croisent le chemin de Vic et de son team de choc. Manière, donc, pour les scénaristes, de faire s’entrechoquer le quotidien et l’extraordinaire pluie d’évènements crapuleux orchestrés par notre ami peu respectable.

Vous l’aurez compris, The Shield, bien que ne pouvant pas rivaliser avec le réalisme de The Wire, s’emploie dès sa première saison à dynamiter les codes de la série policières, ou, plus malin encore, à les utiliser à son avantage. La série, immédiatement controversée, offrira déjà des moments de bravoure et de tension rarement égalés à la télévision, le faisant au surplus toujours intelligemment. Autant dire que cette brillante première saison n’est qu’un avant-goût. Avis aux amateurs. 17/20
Kilian Dayer
Kilian Dayer

121 abonnés 838 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 2
4,5
Publiée le 27 février 2017
Un deuxième tour de piste dans le district fictif de Farmington, Los Angeles, vous plairait-il? N’hésitez donc pas un instant. The Shield, série emblématique du dénommé Shawn Ryan, entame son deuxième round, toujours en treize épisodes, sur les chapeaux de roues et dans la parfaite continuité de la première saison. Vic Mackey, David Aceveda, Claudette Wyms, Dutch Wagenbach et j’en passe, tous reviennent marcher sur les charbons ardents qui constitue leurs quotidiens de flics, plus ou moins honnêtes, dans un déluge de tension, de violence, de dilemmes moraux incessants, chaque décision, chaque fait d’armes, ayant, comme de juste, ses conséquences.

Toujours aussi puissante, rythmée, sans doute moralement douteuse, n’est-ce pas pour ça que l’on aime tant The Shield, la série revient persécuté notre patience, revient casser du bois sans compromis, propulsant toujours plus loin dans la mouise et l’infortune, ou momentanément dans la gloire, ses quelques protagonistes. Sans pincettes, sans détours, Shawn Ryan nous percute frontalement avec un quotidien policier poisseux, douloureux, avec des séquences d’action maîtrisée, jonchées d’une violence réaliste, avec des confrontations tendues, pour le moins, entre les différents intervenants. Bref, The Shield confirme parfaitement la qualité de sa première saison, nous laissant ici choir sur un season final qui promet de durs passes d’armes par les suites. Un indispensable, évidemment. 18/20
Kilian Dayer
Kilian Dayer

121 abonnés 838 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 3
4,5
Publiée le 6 mars 2017
Troisième détour dans l’univers trépidant de nos policiers sur le grill préférés, dans les méandres poisseux d’un district fictif de la tentaculaire Los Angeles, et troisième gifle consécutive assénée par Shawn Ryan et son team de scénaristes. The Shield rempile, en somme, pour une troisième cuvée rallongée de deux épisodes, pour un total de quinze, une troisième cuvée toujours aussi percutante, en dépit, on peut le dire, d’une légère décélération. Resserrée jusqu’alors sur le trublion Vic Mackey, en majorité, la série s’éloigne quelque peu de son personnage central pour offrir d’avantage encore de substances aux autres intervenants. Mais point d’ellipse, tout le monde se tenant dans la même boîte de sardine, les uns tentant de couvrir leurs méfaits, d’autres œuvrant à destituer les premiers alors que d’autres encore se verront confronter aux affres, simplement, du métier de policier en milieu dirons-nous hostile.

Le train de l’argent, le meurtre d’un collègue bavard, un nombre incalculable de coups fumants, que de secrets que doivent garder nos quatre inspecteurs de chocs. Face à la hiérarchie, d’abord, puis face à leurs collègues, et finalement à l’adversité. Pendant ce temps, le brave Dutch Wagenbach se confronte à un violeur/assassin en série, explorant la psychologie monstrueuse de sa proie, Claudette ronge son frein en attendant, vraisemblablement, son poste de capitaine, David Aceveda fait face à la cruauté de la rue tout en préparant son prochain mandat de conseiller municipal, et les uniformes défient un quotidien toujours plus délabrés, fait de morts, d’agressions, de sang et de larmes.

Bref, une épique immersion dans un petit monde gangréné, violent, mais toujours prompt à nous faire ressentir un suspens remarquablement dosé. Ici, notons qu’il s’agit là d’une première, la Strike Team semble commencer à se déliter, signe avant-coureur, sans doute, des difficultés qui suivront. Bref, du bel ouvrage, musclé et dynamique. Une saison qui ne fait pas tâche, qui fait honneur au deux précédentes. 17/20
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 12 juillet 2020
Un Chef D'Oeuvre. Shawn Ryan réalise un Coup de Maitre en réinventant les Séries Policières a travers ce Polar Urbain Percutant et Réaliste qui nous directement KO après visionnage. Pour Commencer la Réalisation est Nerveuse et Immersif en étant filmé d'une manière quasi documentaire qui permet de mieux nous immerger dans l'ambiance Poisseuse et Oppressant de la ville de Los Angeles qui est accompagné d'une BO efficace du trio Vivian Romero,Ernesto Bautista & Rodney Alejandro qui s'accorde brillamment a l'univers de la série. Ensuite le Scénario est Passionnant et Édifiant de bout en bout qui arrive avec panache a nous tenir en Haleine avec son lot de Rebondissements Choquants et Hallucinants qui donne a chaque fois l'envie de voir la suite tout en racontant le quotidien brulant d'une Brigade Policiers Véreux aux Méthodes peu orthodoxes qui vont connaitre inévitablement l'ascension jusqu’à la chute infernale mais inévitable qui va les conduire eux et leurs entourage dans une spirale sans précédant dont la Série sans Concessions mais avec Finesse a aborder des Thématiques phares comme la Corruption,la Loyauté,l'Honneur,le Racisme,le Trafic de Drogue,la Rédemption,la Vengeance,la Politique,la Bureaucratie et l'Intégration qui sont parfaitement mis en avant a travers son Rythme endiablé mener tambour battant a travers ces 7 Saisons d'une qualité exemplaire, Ajouter a cela un Suspense Palpable mais permanent qui nous lâche jamais en passant par des Séquences D'Actions et de Fusillades magnifiquement orchestrer tout en étant Brutale et d'une Redoutable Efficacité mais aussi une Noirceur qui s'accentue rapidement avec en prime une bonne dose de Séquences Crues et Sulfureuse qui sont déconseiller aux plus jeunes tout en n'oubliant pas d'y inclure une bonne dose d'Humour Noir particulièrement Cinglantes rempli de Dialogues qui fusent a grande vitesse pour apaiser les rares moments de répit tout en privilégiant l’Émotion qui atteint ici son paroxysme Émotionnelle en nous submergeant littéralement a travers des Scènes Intimistes Puissantes et Déchirantes qui nous saisit jusqu'aux tripes. Pour Finir le Casting est Parfait avec son lot de Personnages Complexes et Abimés dont on retrouve en haut de l'affiche l'immense Michael Chiklis qui est Phénoménale en campant l'un de ces roles les plus marquants en campant le role emblématique de Vic Mackey un Inspecteur de Police Charismatique,Véreux,Impulsif et Dangereux dont l'acteur est sensationnelle dans la peau de cet Anti-Héros Complexe et Magnétique, Autour de notre Flic Ripoux on retrouve une pléiade de Seconds Roles en Béton comme l'étonnant Walton Goggins qui est hallucinant dans la peau de Shane Vendrell le partenaire Toxicomane,Tourmenter et Magouilleur de Vic Mackey qui est rejoint par l'impeccable Beninto Martinez qui excelle avec aisance dans la peau de David Aceveda un Capitaine de Police Ambitieux,Corrompue et Intransigeant qui est également rejoint par d'autres Personnages Secondaires inoubliables composer entre autres de CCH Pounder,Jay Karnes,Catherine Dent,Kenneth Johnson,David Rees Snell,Brian J. White,Michael Jace,Michael Peña & Alex O'Loughlin qui parviennent étonnamment a gagner en épaisseur au fil de la série et qui en prime voit l'arrivé Fracassante de quelques Guest Stars Prestigieux comme Glenn Close,Forest Whitaker,Laurie Holden,Anthony Anderson et Carl Weathers qui vient complète cette Distribution Alléchante. En Conclusion, The Shield est assurément l'un des plus Grands Chefs D'Oeuvres Télévisuel dans l'univers de la Télévision dont l'engouement auprès de la Presse et du Publique est amplement mérité tout en remerciant toute l'équipe de la série dont notamment le Showrunner Shawn Ryan qui est trés talentueux en matière de créateur de série et qui signe ici un Polar Dramatique Brillant,Saisissant,Percutant,Haletant,Crépusculaire et Bouleversant qui rentre au Panthéon des plus grandes Séries Policières des Années 2000 a classer aux cotés d'autres séries Incontournables du genre comme The Wire ou True Détective qui est a voir et a revoir sans modération.
Hammerstorm
Hammerstorm

78 abonnés 601 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 2 juillet 2014
Tout simplement une des meilleurs séries qu'il m'a été donné de voir. De l'épisode 1 à 88 tout est parfait. Les rebondissements et les péripéties vécuent par Vic Mackey, Curtis Lemansky, Ronnie Gardockie et Shane Vendrell ont un impact phénoménal! Les émotions sont tellements fortes, à certains moments, que The Shield pourrait faire passer 99% des séries pour des séries disney. Avec The Shield, on joue dans la cour des grands!
Oxymetal
Oxymetal

96 abonnés 688 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 11 mars 2013
Adapté d'un fait divers aux Etats Unis "The Shield" sort radicalement du lot dans un monde galvaudé par des séries policières qui se suivent et se ressemblent toutes, dans la lignée "Des Experts". Filmé caméra à l'épaule pour plus de réalisme "The Shield" nous plonge dans l'univers quotidien d'une poignée de policiers dans un petit commissariat de proximité dans un quartier chaud de "Los Angeles". L'histoire se concentre surtout sur une équipe de flics ripoux qui ne reculent devant rien pour faire régner l'ordre de façon souvent expéditive outre passant la plus part du temps leurs droits avec en tête le phénoménal détective "Vic Mackey" (Alias "Michael Chiklis"). Corruption , guerre des gangs, meurtres violent, trafiquants de drogues, proxénètes, magouilles politique, tout y passe. Les saisons s'enchaînent sans temps morts montant crescendo en tension dans l'intrigue principale. La force majeure de la série reste l'étonnante compassion que l'on ressent face à ces flics ripoux qui sombrent petit à petit dans la déroute jusqu'au final tout simplement tétanisant. Une série coup de poing fascinante qui reste de loin l'une des meilleurs jamais vu sur un petit écran. Si vous ne connaissez pas encore "The Shield" accrochez vous à votre fauteuil, vous allez plonger dans un voyage particulièrement crispant dont on ne ressort pas indemne !
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 4 mars 2014
Essayons d'être le plus bref possible. C'est assez compliqué car c'est pour moi la meilleure série de tous les temps, tout simplement. Et sachez avant toute chose que je n'aime pas (qui a dit déteste ?) les séries policières. A ne surtout pas considérer The Shield comme une série policière.

On y suit Vic Mackey, un flic féroce et sûr de lui, et son équipe la Brigade de Choc dans la lutte contre le crime à Los Angeles. Mais ils utilisent souvent les mêmes méthodes que les criminels qu'ils poursuivent pour arriver à leur fin (meurtre, corruption, chantage, torture...

On ne peut plus basique à première vue, mais tellement différent de tous ces séries d'investigation molle à deux francs cinquante. On ne suit jamais une enquête fadasse par épisode, on suit une histoire complète et prenante qui se déroule sur 7 saisons, avec de vrais enjeux dramatiques.

L'écriture est divine, les personnages prenants, tour à tour on peut les adorer puis les détester, chacun ayant leur vertu et leur vice poussé à l'extrême. Encore plus pour le héros / anti-héros Vic Mackey : père aimant au quotidien (une femme et des enfants qu'il aime véritablement, malgré des relations qui s'étiolent au fur et à mesure forcément) mais vraie brute sans pitié dans son travail (souvent "justifié", jamais apprécié par ses supérieurs).

L'attrait principale de cette série se trouve donc dans les personnages et leurs ramifications. Ils vivent des expériences heureuses, ou bien plus ou moins traumatisantes (ou très traumatisantes pour certains), s'entre-aident ou s'entre-tuent selon les cas, mais plus les saisons s'enchaînent, plus les problèmes sont insurmontables.

Je recommande cette série les yeux fermés, et même si certaines scènes sont choquantes (pas visuellement mais psychologiquement), on reste bouche bée devant tant de qualité indéniable.

Ultime chef d'oeuvre.
gnurff
gnurff

29 abonnés 283 critiques Suivre son activité

Critique de la série
2,5
Publiée le 27 janvier 2009
Serie assez sympas à regarder sur ce flics corrompus.... Mais delà en avoir fait 7 saisons ?