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Votre avis sur La Grande Vadrouille ?
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Une comédie mythique du cinéma français ! Un film ou tout est réussi ! Félicitation au très regretté Gérard Oury!
Le duo d'acteurs formé par Louis de Funès et Bourvil marche parfaitement, malgré les chaussures qui ne sont pas à la bonne taille. Les seconds rôles ne sont pas en reste. Les dialogues sont excellents (
spoiler:
«y'a pas d'hélice hélas! C'est là qu'est l'os»
), les gags sont très bien intégrés à l'histoire, et celle-ci n'a pas de temps mort. Les émotions liées à la tragédie qu'a été la seconde guerre mondiale, et le danger mortel qu'elle représente pour les personnages, sont bien présentes, mais le film sait rester une comédie, même au moment le plus critique ( spoiler: le soldat allemand qui louche
). La musique d'Hector Berlioz est inoubliable. Tout s'enchaîne à la perfection. C'est un film qui devrait servir de modèle, tant les comédies complètement ratées sont nombreuses.
), les gags sont très bien intégrés à l'histoire, et celle-ci n'a pas de temps mort. Les émotions liées à la tragédie qu'a été la seconde guerre mondiale, et le danger mortel qu'elle représente pour les personnages, sont bien présentes, mais le film sait rester une comédie, même au moment le plus critique ( spoiler: le soldat allemand qui louche
). La musique d'Hector Berlioz est inoubliable. Tout s'enchaîne à la perfection. C'est un film qui devrait servir de modèle, tant les comédies complètement ratées sont nombreuses.
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La grande Vadrouille, c’est d’abord un incroyable succès populaire. Avec ses 17 267 000 spectateurs, il aura été pendant des décennies le numéro 1 du box-office français. Il faudra attendre 22 ans et les 21 774 181 entrées de Titanic (1998), pour que le record soit battu. Le film de Gérard Oury est resté le plus gros succès public de l’Histoire du cinéma français pendant longtemps et ce jusqu’aux sorties de Bienvenue Chez les Ch’tis (2008) (20 489 303 entrées) et Intouchables (2011) (19 490 688 entrées). Mais proportionnellement à la population française des deux époques, La Grande Vadrouille demeure au premier rang !!
Bourvil : Augustin Bouvet, peintre en bâtiment, l’archétype du français moyen pendant l’occupation, qui bien malgré lui dans la perfection de ses gaffes burlesques et d’une forme de médiocrité ordinaire, va nous éblouir de rire et d’un héroïsme un peu contraint, mais clairement authentique. Louis De Funès : Stanislas Lefort, en chef d’orchestre exigeant, insupportable, grimaçant et multipliant les mimiques dans ce style inimitable. La rencontre entre les deux immenses talents se fera évidemment tout en contraste, humainement et sociologiquement. Une parabole entre les acteurs et leurs rôles respectifs.
Ils partagent finalement la même silencieuse aversion pour l’occupant, mais doivent bien se plier à l’ordre établi. A travers leurs deux portraits, en seulement 15 minutes de film, c’est toute une époque qui est finement retracée. On est dans le plus pur style Oury, du grand spectacle populaire, mais avec subtilité et toujours sans vulgarité. Ne pas aimer le costume nazi est un fait, mais de là à lutter avec les alliés, il persiste comme un léger delta, c’est aussi ce qui va unir les deux compagnons d’infortune et qui se veut représentatif d’un certain état d’esprit du moment.
Tiens, voilà le premier « Non mais dis donc « de Bourvil, qui nous décoche forcément un large sourire. Alors, quand il enchaîne sur « Ha mon vélo « … C’est tout un pan d’histoire du cinéma français qui s’offre à nous en une simple phrase, et qui incarne et symbolise l’humilité et l’humanité du comique dont la générosité se lit sur le visage. La course poursuite avec les side-cars allemands où la seule arme d’Augustin et de Stanislas, ainsi que de la bonne sœur qui passait par là, sera le lancer de citrouilles…
Bourvil : « En tout cas, ils peuvent me tuer, je ne parlerai pas… «
De Funès : « Moi aussi !!! … Ils peuvent vous tuer, je ne parlerai pas !! «
Un échange qui dit tout du duo !!! Et l’art des dialogues du cinéma de Gérard Oury, où on se marre, mais jamais grassement !! C’est Danièle Thompson qui résumera parfaitement ce qu’est La Grande Vadrouille au cinéma, et le plaisir inlassable de le revoir, on lui laisse avec plaisir le dernier mot : « La qualité du film fait aussi qu’il est entré dans le patrimoine du cinéma français, c’est donc un film qu’on ne se lasse pas de regarder plusieurs fois. »
La grande Vadrouille, c’est d’abord un incroyable succès populaire. Avec ses 17 267 000 spectateurs, il aura été pendant des décennies le numéro 1 du box-office français. Il faudra attendre 22 ans et les 21 774 181 entrées de Titanic (1998), pour que le record soit battu. Le film de Gérard Oury est resté le plus gros succès public de l’Histoire du cinéma français pendant longtemps et ce jusqu’aux sorties de Bienvenue Chez les Ch’tis (2008) (20 489 303 entrées) et Intouchables (2011) (19 490 688 entrées). Mais proportionnellement à la population française des deux époques, La Grande Vadrouille demeure au premier rang !!
Bourvil : Augustin Bouvet, peintre en bâtiment, l’archétype du français moyen pendant l’occupation, qui bien malgré lui dans la perfection de ses gaffes burlesques et d’une forme de médiocrité ordinaire, va nous éblouir de rire et d’un héroïsme un peu contraint, mais clairement authentique. Louis De Funès : Stanislas Lefort, en chef d’orchestre exigeant, insupportable, grimaçant et multipliant les mimiques dans ce style inimitable. La rencontre entre les deux immenses talents se fera évidemment tout en contraste, humainement et sociologiquement. Une parabole entre les acteurs et leurs rôles respectifs.
Ils partagent finalement la même silencieuse aversion pour l’occupant, mais doivent bien se plier à l’ordre établi. A travers leurs deux portraits, en seulement 15 minutes de film, c’est toute une époque qui est finement retracée. On est dans le plus pur style Oury, du grand spectacle populaire, mais avec subtilité et toujours sans vulgarité. Ne pas aimer le costume nazi est un fait, mais de là à lutter avec les alliés, il persiste comme un léger delta, c’est aussi ce qui va unir les deux compagnons d’infortune et qui se veut représentatif d’un certain état d’esprit du moment.
Tiens, voilà le premier « Non mais dis donc « de Bourvil, qui nous décoche forcément un large sourire. Alors, quand il enchaîne sur « Ha mon vélo « … C’est tout un pan d’histoire du cinéma français qui s’offre à nous en une simple phrase, et qui incarne et symbolise l’humilité et l’humanité du comique dont la générosité se lit sur le visage. La course poursuite avec les side-cars allemands où la seule arme d’Augustin et de Stanislas, ainsi que de la bonne sœur qui passait par là, sera le lancer de citrouilles…
Bourvil : « En tout cas, ils peuvent me tuer, je ne parlerai pas… «
De Funès : « Moi aussi !!! … Ils peuvent vous tuer, je ne parlerai pas !! «
Un échange qui dit tout du duo !!! Et l’art des dialogues du cinéma de Gérard Oury, où on se marre, mais jamais grassement !! C’est Danièle Thompson qui résumera parfaitement ce qu’est La Grande Vadrouille au cinéma, et le plaisir inlassable de le revoir, on lui laisse avec plaisir le dernier mot : « La qualité du film fait aussi qu’il est entré dans le patrimoine du cinéma français, c’est donc un film qu’on ne se lasse pas de regarder plusieurs fois. »
En France mais aussi dans les pays voisins La Grande Vadrouille est plus qu'un classique du cinéma c'est un monument culturel et même un patrimoine mondial. Je n'ai certainement pas l'intention de paraître prétentieux mais je doute qu'un tel film puisse un jour exister ailleurs. Pourquoi parce que ce film est à la fois patriotique et satirique que le scénario est rempli de clichés et de stéréotypes, que l'humour ne repose pas forcément sur des clichés et des stéréotypes et que bien que le sujet traite des événements déprimants de la Seconde Guerre mondiale à jamais l'une des pages les plus sombres de l'histoire du monde le ton du film reste courtois et innocent à tout moment. Les nazis dans ce film sont naturellement les méchants mais pour une fois ils ne sont pas dépeints comme des monstres inhumains ce qui est probablement la raison principale pour laquelle La Grande Vadrouille a connu également un énorme succès en Allemagne. Ce film a la propriété remarquable de ne pas contenir de scènes ennuyeuses. Il vous apporte juste plus de deux heures de comédie ainsi qu'un beau scénario. Le trio magique Louis de Funès, Bourvil et Gérard Oury rend ce film si unique. Si vous aimez celui-ci n'oubliez pas de voir Le Corniaud...
La Grande Vadrouille sans doute mon film Français préféré ! Le n'a pas pris une ride il est super agréable à regarder une aventure au cœur de la France. Ce film mérite son succès déjà le Casting est excellent Louis de funès et Bourvil sont juste parfait dans ce film qui fut d'ailleurs celui qui a fait le plus d'entrée en France jusqu'à l'arrivée de Titanic. Bref je ne me lasse pas de regarder ce chef d'œuvre qui mélange Comédie, action et aventure.
Plus de 50 ans après sa sortie, La Grande Vadrouille n'est toujours pas passé de mode. Porté par un duo Louis de Funès / Bourvil au sommet de son art, les deux heures de film passent extrêmement vite grâce à une intrigue assez simple mais vraiment drôle. Si les deux acteurs précédemment cités y sont pour beaucoup, il faut aussi souligner l'excellente prestation des aviateurs anglais et des allemands. L'excellent casting et l'écriture irréprochable du script permettent au spectateur de rire quasiment non stop du début à la fin, en se régalant avec des scènes et répliques encore cultes aujourd'hui. Quelques faux raccords peuvent être identifiés si on est attentif, et quelques dénouements sont un peu faciles (mais ça fait aussi partie de l'humour du film), mais il faut vraiment chercher la petite bête pour trouver d'autres points noirs.
Raconter une histoire se déroulant durant l'occupation allemande en 1966 était un défi compliqué et risqué, et Gérard Oury l'a parfaitement réussi.
Raconter une histoire se déroulant durant l'occupation allemande en 1966 était un défi compliqué et risqué, et Gérard Oury l'a parfaitement réussi.
50 ans et pas une ride ! Un classique indémodable avec deux acteurs extraordinaires, Bourvil et de Funès, qui s'en donnent à cœur joie. Et le reste de la distribution (Terry Thomas, Benno Sterzenbach) est tout aussi bonne.
Tant de scènes et de dialogues devenus mythiques ! (La petite fille du guignol ! Mes chaussures, mon vélo ! Dites 33 - Thirty-three !
Heureux temps où le cinéma français offrait presque chaque année au moins un excellent film !
Tant de scènes et de dialogues devenus mythiques ! (La petite fille du guignol ! Mes chaussures, mon vélo ! Dites 33 - Thirty-three !
Heureux temps où le cinéma français offrait presque chaque année au moins un excellent film !
Deux ans après "Le Corniaud", Gérard Oury décide de reformer le duo De Funès/Bourvil. L'alchimie entre les deux compères fonctionne parfaitement. La prestation de Bourvil est superbe, quant à De Funès, son jeu est moins lourd que d'habitude. Le scénario est bien fait, on prend plaisir à suivre leurs aventures. On rit pas mal de fois, certaines scènes sont cultes, comme ce film qui ne vieillit pas trop. Bref, une bonne comédie qui resta, logiquement et longtemps le film numéro 1 du box-office français.
Comédie franchouillarde à gros moyens, un peu trop longue, avec de bons gags, souvent prévisibles, qui nous amène à visiter les dessous de l’Opéra de Paris, les égouts puis à admirer la Bourgogne (paysages, Hospices de Beaune, Meursault…).
Un chef-d'œuvre de la comédie française, aussi bien sur le fond que sur la forme. C'est film retrace avec humour un moment fort de l'histoire française : celui de la Résistance face à l'Occupation.
Franchement déçu par le chef d'oeuvre d'humour à la française moi qui culpabilisai presque de ne pas l'avoir vu. J'aime bien De Funes sans avoir vu beaucoup de film mais le Bourvil m'est tellement sortie des yeux, insupportable, pas drôle. Finalement la fameuse scène du bain turc est la seule scène réussi du film. Après je comprend l'engouement de l'époque et que l'on puisse le revoir en famille aujourd'hui mais franchement ... Qu'est-ce que ça a vieillit !!!
Le classique des classiques du cinèma Francais, on ne se lasse pas du Tamdem magique, Bourvil / De Funes.
C'est difficile de critiquer un film comme La Grande Vadrouille. D'une part parce que c'est un film culte et d'autre part parce que j'ai adoré ce film. Je l'ai visionné une bonne cinquantaine de fois et je le trouve indémodable. Il existe peu de film français qui peuvent lui rivaliser. Louis de Funès et Bourvil sous la direction de Gérard Oury c'est un trio gagnant. Le film n'est ni trop long ni trop court et on passe un bon moment devant. Il n'a pas pris une ride et je vous encourage donc à le visionner ou le revisionner. C'est une critique un peu courte mais que dire de plus sur ce film à part qu'il est superbe.
Un classique indémodable du cinéma français !
Porté par le duo légendaire Louis de Funès et Bourvil, La Grande Vadrouille est une comédie qui mêle subtilement humour, aventure et émotion sur fond de Seconde Guerre mondiale. Gérard Oury réussit à allier burlesque et tension dramatique dans un récit parfaitement rythmé.
Les dialogues savoureux, les situations absurdes mais hilarantes (l’épisode des bains turcs ou celui du monastère sont inoubliables), et le jeu impeccable des acteurs rendent ce film irrésistible. De Funès, en chef d’orchestre maniaque, et Bourvil, en peintre bonhomme, forment un duo explosif et complémentaire, offrant des moments de pure complicité et de franche rigolade.
Cependant, quelques rares longueurs et le côté parfois caricatural de certains personnages expliquent que je n'attribue pas la note maximale. Mais cela n’enlève rien au plaisir immense que procure ce chef-d'œuvre, qui reste une référence intemporelle et fédératrice, capable de réunir toutes les générations.
À voir et à revoir sans modération !
Porté par le duo légendaire Louis de Funès et Bourvil, La Grande Vadrouille est une comédie qui mêle subtilement humour, aventure et émotion sur fond de Seconde Guerre mondiale. Gérard Oury réussit à allier burlesque et tension dramatique dans un récit parfaitement rythmé.
Les dialogues savoureux, les situations absurdes mais hilarantes (l’épisode des bains turcs ou celui du monastère sont inoubliables), et le jeu impeccable des acteurs rendent ce film irrésistible. De Funès, en chef d’orchestre maniaque, et Bourvil, en peintre bonhomme, forment un duo explosif et complémentaire, offrant des moments de pure complicité et de franche rigolade.
Cependant, quelques rares longueurs et le côté parfois caricatural de certains personnages expliquent que je n'attribue pas la note maximale. Mais cela n’enlève rien au plaisir immense que procure ce chef-d'œuvre, qui reste une référence intemporelle et fédératrice, capable de réunir toutes les générations.
À voir et à revoir sans modération !
Ce film fait partie des très rares œuvres à avoir dépassé le statut cinématographique pour s'être enraciné sans doute à jamais dans l'imaginaire culturel populaire français. A la fois revanchard et cathartique, la Grande Vadrouille offre une lecture en technicolor d'une période honteuse de notre histoire. Portée par deux acteurs exceptionnels, le film n'échappe pourtant pas à de gros moments de lourdeurs, appuyé par un rythme que le temps a ralenti parfois ad nauseam. Restent des moments d'anthologie, racontant à merveille ce que nous sommes profondément.
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