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1,0
Publiée le 5 juillet 2024
Une véritable calamité, scénario exécrable, réalisation qui frise l'amateurisme, même Ryan Phillippe et Emile Hirsch, sans être des acteurs extraordinaires à l'accoutumé, et loin d'être débutant, sont ici navrant. Le film est d'un vide abyssale, qui ne raconte rien et se paie le luxe d'être en plus ridicule. A évité.
Mais quelle daube, comment aujourd'hui c'est possible de faire des films aussi nuls avec pourtant des acteurs de bon calibre mais qui se sont mis au même niveau que ce navet... Affligeant
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10 184 critiques
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1,5
Publiée le 22 novembre 2024
Un couple de missionnaires américains quittent l'Afrique en urgence pour échapper à des terroristes, mais leur fuite dans un petit avion ne se passe pas comme prévu puisqu'ils sont victimes d'un crash dans une zone extrêmement dangereuse... Mukunda Michael Dewil a beau insister lourdement sur la soi-disant dangerosité de l'endroit où les personnages se trouvent, il est incapable de nous le faire ressentir. À part la chaleur et la déshydratation, la menace ne se fait jamais sentir pendant le 3/4 du film. Nous sommes donc forcés de patienter avec des personnages particulièrement agaçants... Les images de lions ont probablement été achetées à National Geographic et certaines incrustations sont risibles. Bref, on s'ennuie cruellement devant ce film sans action et sans intérêt.
Il est difficile d’adhérer totalement à la tension et la peur générées en vain par le réalisateur et le metteur en scène. L'équipe tente de nous transmettre cette angoisse permanente comme si, nous même, étions "à pied" perdu sur les terres des Lions et autres hyènes, brrrr ! Même si les acteurs ne s'en sortent pas si mal, la première partie du film est ennuyeuse, il va falloir être très patient avant de croiser un animal sauvage. Pas ou peu d'archives, on ne voit presque rien. Les rares attaques sont suggestives, il faut deviner. Quelques plans du même lion marchant avec assurance, le regard perçant sont montrés mais il faudra deviner tout le reste....
Bon ce film et mauvais par son côté pris par le nanar et le petit budget de 450.000$ de Chez Ace entreprises clairement le plus gros défaut ses que ces un film avec un lion mais qu'on le voi pas perce que dans tout le lomp du film et le jeu acteur et par fois très nul et désagréable mais bon on peu pas s'attendre et du chef oeuvres vue son budget bon pour faire cours c'est mauvais parce-que y'a des kill mes qu'on voi l'attaque du Lion mes pas le lion spoiler: simplement c'est un avion avec 7 touristes qui se crache dans le plein milieu de l'Afrique et apré von se faire bouffer par un lion invisible 1 2 3 4 5 j'usqua six vont se faire bouffer et apré comme dans un peu près tout les fin de film d'horreur il a un survivants. Bon ils et mauvais pour la choses principal qui manque voilà plus rien à dire !
Piégés ! Si les protagonistes sont piégés dans la savane, les spectateurs sont quant à eux piégés dans ce navet infâme. J’ai rarement vu un montage aussi nul. Les faits se déroulent dans la nature africaine mais les plans sont tellement serrés qu’on ne voit rien de l’immensité des lieux. Les trucages sont ratés, les drop du scénario sont tout bonnement absurdes et les personnages sont caricaturaux à souhait. Que sont allés faire Hirsch, Suvari et Philippe dans cette galère…?
Prey est un titre courant, alors attention de ne pas vous tromper où vous pourriez tomber par accident sur ce métrage, l’un des plus horribles que j’ai pu voir récemment avec Vanquish ! Le film commence pourtant sur des bases classiques mais appréciables pour un filmspoiler: d’attaque animale comme je les aime ! On a le sentiment de rentrer rapidement dans l’histoire et j’ai même envie de dire que les 20 premières minutes réservent des surprises !spoiler: Impossible de connaître l’ordre des morts ! Le souci c’est qu’après… Tout est calamiteux ! Déjà formellement c’est un désastre. Ok le coin de désert fait vrai, mais le film est très mal réalisé, il esquive toutes les scènes qui auraient exigé un peu de tension et d’action, on s’ennuie ferme même lors des attaques qui refusent également toute violence graphique. Le film fait très cheap, très pauvre, mais ça aurait pu passer avec une réalisation affutée, maline, spoiler: et une intrigue entièrement basée sur le côté huis-clos-survival dans la savane . Mais ce n’est pas le choix que fait Prey, le choix de l’efficacité pragmatique, spoiler: Prey fait le choix du film à messages . Réalisé par un moine boudhiste, le film déborde de références religieuses. spoiler: C’est un véritable film mormon où tout est beaucoup trop orienté vers le divin pour convaincre. A la limite qu’un personnage le soit, pourquoi pas, mais le côté spoiler: conversion des crapules c’est trop ! Le film vire rapidement au grotesque le plus assumé et le héros devient littéralement insupportable de mollesse et de niaiserie. Du coup plutôt que d’être un pur film survival divertissant on a le droit à une sorte de relecture des principes bibliques en pleine savane et c’est très chiant, faut être honnête ! Très chiant et ce malgré les acteurs qui essayent de faire ce qu’ils peuvent. Evidemment ils sont carrément pollués par des dialogues ridicules la plupart du temps et des situations littéralement incohérentes (à noter d’ailleurs que le réalisateur ne s’est même pas documenté à minima sur le comportement des lions !), mais ils n’ont pas grand-chose à défendre non plus. Mena Suvari est en mode figuration, spoiler: Ryan Phillippe est insupportable en médécin mormon spoiler: qui se prend pour un saint martyr, et finalement seul surnage Emile Hirsch malgré les rebondissements débiles autour de son personnage. Prey est une catastrophe ambulante. Mou, bourré de situations drôles à force de loufoquerie, plombé par un discours chrétien aussi subtil que Rambo avec un bazooka, avachi par une mise en scène inepte, je suis pantois. La déception est d’autant plus grande que pour une fois dans un film d’attaques de lions il y avait de vrais lions à l’image ! C’est mieux que le numérique, mais comme le reste ne suit pas du tout…
Dernière réalisation de Mukunda Michael Dewil (« Run 19 », « The Immaculate Room »), « Prey » avait sur le papier tout le nécessaire pour offrir un spectacle de qualité; casting alléchant, histoire vue et revue mais intrigante et paysages naturels spectaculaires. Pourtant, et très rapidement, le spectateur s’ennuie fermement et les situations ridicules se chevauchent sans aucun intérêt. Lors du visionnage, on se rend compte qu’un pitch a été vendu, mais les dialogues semblent improvisés car extrêmement vides de sens. Les incursions visuelles des animaux ne sont pas souvent soignées et le rendu final de « Prey » est aussi ennuyant que lorsqu’on suit une bourrasque dans un désert. Dans les films du genre, le spectacle proposé est aussitôt vu, aussitôt oublié.
Bon voilà un thriller basique certainement tourné par un étudiant en cinoche, tant rien ne passe les contrôles de base, scénario misérable, inepties de mise en scène, dialogues enfantins, bref une simple et pure calamité.
Un scénario prometteur de tension, d'angoisse. Mais le seul suspens sera en réalité de savoir si cette fiction nous fera ressentir autre chose que de l'ennui. Le film s'enlise très vite dans les sables et avec lui toute tension et même toute émotion. C'est un ratage complet. Les seuls moments de tension sont évacués par des élipses incompréhensibles qui tuent toute dramaturgie. Les espaces sont néant, la menace est évanescente et l'horreur est supposée. Par contre la bêtise de ce navet est réelle.
L'idée est bonne sur le papier, et la com pas si mauvaise. Mais les images sont excellentes et les plans très bien cadrés. Malheureusement, le scénario n'y est pas, rien n'est crédible. A la limite du ridicule on se laisse convaincre par le paysage merveilleux, les animaux et des acteurs obligés de jouer leur pire rôle !!!
A part Hirsch, tous les autres acteurs sont absolument caricaturaux et navrants.
Le film en lui même aurait pu être potable avec d'autres choix de réalisation mais il ne reste après le visionnage que l'impression d'un immense gâchis, en ce qui concerne le spectateur, de temps.